1 – L’IMPORTANCE THERMIQUE CRUCIALE DE TRANSFORMER LES FORÊTS CHAUDES ET SÈCHES… EN FORÊTS HUMIDES !


2017/11 – LE RÔLE PRÉDOMINANT DE L’EAU ET DE L’HUMIDITÉ VÉGÉTALE POUR LE CLIMAT LOCAL ET MONDIAL

Les océans représentent 93% dans le bilan thermique de refroidissement planétaire, et l’eau a une capacité d’absorption calorifique théorique qui est 35 fois plus efficace que l’air sec !

2017/12 – LA BOUE DES TOURBIÈRES QUI POURRAIT CHANGER LE MONDE !

https://www.washingtonpost.com/news/theworldpost/wp/2017/12/08/carbon-climate-change/?__twitter_impression=true&tid=sm_tw&utm_term=.cb4f45aea406

2017/08 – LES ARBRES INFLUENT PLUS QUE PRÉVU SUR LA FORMATION  DES NUAGES !

CORRECTION NÉCESSAIRE DES PARCELLES CULTIVÉES :

Les deux croquis parlent d’eux-mêmes :

  • en haut, avant, avec érosion et perte d’humus irrécupérable, assèchements et risque de perte de récolte et d’incendies sous canicules (auto-combustion), accumulation dans les vallons avec risque de crues répétées plus loin ;
  • en bas après  correction paysagiste, qui nécessite recadastrage, remembrement, suppression de toute pente sur toute campagne !

 UN INDIEN QUI PLANTA SEUL UNE FORÊT DE 500 HA sur 35 ANS !

Sur une île aride et érodée, menacée de disparaître du fleuve Brahmapoutre, un hindou décida seul de replanter des arbres dès les années 70 et continue encore aujourd’hui (jusqu’à ma mort, dit-il) :

 Prenons tous exemple sur lui et arrêtons de ne faire que saccager la nature ! Elle a besoin de toute notre attention, qu’on l’entretienne et la rénove quand nécessaire !

La végétation est seule garante d’un climat local qui tienne et de réduction du réchauffement climatique par humidification et absorption du CO2 en excès que nous produisons sans discernement !

LA REPLANTATION D’ARBRES à AUTOMATISER avec des DRONES ?

Pas si sûr que cela suffise si on ne travaille pas les pentes pour retenir toutes eaux avant qu’elles fuient dans les océans !

https://www.weforum.org/agenda/2017/06/drones-plant-100000-trees-a-day?utm_content=bufferb3f08&utm_medium=social&utm_source=twitter.com&utm_campaign=buffer

Localement, les conditions climatiques sont très dépendantes de la configuration précise des paysages arborés et des retenues maximales d’eau d’orage !

 

 

 

Gains vérifiés sur 25 ans en France, en plateau argileux, venteux, très sec l’été :

  • Absorption théorique de chaleur air Humide / Air sec = 35 fois plus en humide !
  • canicules pas du tout ressentie localement, et arrosage réduit au minimum ;
  • arbres en bas de talus poussant deux fois plus vite que ceux sur pentes ;
  • gain par dépôt humide et dense de 7cm d’humus et de CO2 (sur 25 ans de test) :
  • aucun risque de crue en période d’orage (toute eau en excès retenue localement) ;
  • toute eau absorbée par le sol, plus léger et par les racines des arbres (espèces même à racines profondes) :
  • aucun risque de sécheresse et d’incendie incontrôlable !

ASSERTION FAUSSE CI-DESSOUS (déjà thermiquement, les forêts très vite asséchées, en deux semaines à 32 ° C en France perdent leurs feuilles, captatrices de CO2 par évapotranspiration) pour les arbres les plus fragiles :

… »Le sort à long terme des forêts tropicales peut « ne pas être aussi grave que prévu », selon l’étude CU Boulder

https://www.eurekalert.org/pub_releases/2017-04/uoca-lfo042817.php

Université du Colorado à Boulder

 Une nouvelle étude CU Boulder indique que les forêts tropicales peuvent accélérer de manière surprenante leur croissance dans des conditions plus chaudes et plus humides – bonnes nouvelles car elles peuvent absorber plus de CO2 … voir plus

28 avril 2017Les forêts tropicales sont souvent décrites comme les «poumons de la terre», capables d’inhaler le dioxyde de carbone de l’atmosphère et d’exhaler de l’oxygène en retour. Plus elles augmentent rapidement, plus elles atténuent le changement climatique en absorbant du CO2.

Ce rôle les a transformés en un sujet de recherche chaud, car les scientifiques se demandent ce qui arrivera à ce creuset de carbone vital à long terme, à mesure que les températures augmenteront et que les précipitations augmenteront.

La sagesse conventionnelle a permis de constater que la croissance de la forêt ralentira considérablement avec les fortes précipitations. Mais, les chercheurs de Boulder de l’Université du Colorado ont transformé cette hypothèse cette fois-ci en une revue sans précédent des données provenant de 150 forêts qui ont conclu tout le contraire...!

« Nos données suggèrent que, à mesure que les changements climatiques à grande échelle se déplacent dans les régions tropicales et que certains endroits sont plus humides et plus chauds, les forêts accéléreront leur croissance, ce qui est bon pour retirer le carbone de l’atmosphère », a déclaré Philip Taylor, associé de recherche avec L’Institut de recherche arctique et alpine (INSTAAR). « À certains égards, c’est une bonne nouvelle, car nous pouvons nous attendre à une augmentation de la consommation de CO2 dans les régions tropicales où les précipitations devraient augmenter. Mais il y a beaucoup de réserves ».

Les écologistes pensent depuis longtemps que la croissance de la forêt suit une courbe en forme de bosse en matière de précipitation: jusqu’à un certain point, plus de précipitations entraînent une croissance accrue. Mais après environ 8 pieds par an (2,44 m), on a supposé que trop d’eau peut engorger l’écosystème et ralentir le taux de croissance des forêts. En travaillant dans la péninsule d’Osa au Costa Rica, Taylor, qui a obtenu son doctorat en écologie et biologie évolutive à CU Boulder, a commencé à remettre en question cette hypothèse.

« Ici, nous étions dans un endroit qui avait 16 pieds de pluie par an (4,87 m), et c’était l’une des forêts les plus productives et les plus riches en carbone de la Terre. Il a clairement rompu avec la ligne de pensée traditionnelle », a-t-il déclaré.

Intrigué, Taylor a passé quatre ans à synthétiser les données sur la température, les précipitations, la croissance des arbres et la composition des sols dans les forêts tropicales dans 42 pays, compilant ce qu’il croit être la plus grande base de données pan-tropicales à ce jour.

L’étude, publiée le 17 avril dans la revue Ecology Letters, a révélé que les forêts plus fraîches (inférieures à 68 degrés F en moyenne), qui ne représentent que 5 pour cent environ du biome de la forêt tropicale, semblaient suivre la courbe prévue en forme de bosse. Mais les forêts plus chaudes, qui sont dans la majorité, ne l’ont pas fait.

« L’ancien modèle a été formé avec un manque de données provenant de forêts tropicales chaudes », a déclaré Taylor. « Il s’avère que, dans les grandes forêts tropicales qui font la grande majorité de la« respiration », la situation est retournée. Au lieu de ralentir l’eau, elle l’accélère.

Taylor a averti que cela ne signifie pas que le changement climatique n’aura pas d’impact négatif sur les forêts tropicales. À court terme, les recherches ont montré que les sécheresses dans le bassin amazonien ont déjà entraîné une mort répandue des plantes et une diminution de 30% de l’accumulation de carbone au cours de la dernière décennie.

« Beaucoup de changements climatiques se produisent à un rythme beaucoup plus rapide que ce dont parle notre étude », dit-il. «Notre étude parle de ce que l’on peut s’attendre à ce que les forêts puissent faire pendant des centaines d’années».

Parce que le cycle du carbone est complexe, les forêts libérant également du carbone dans l’atmosphère à mesure que les plantes meurent, il est encore impossible de dire quel impact net d’un climat plus humide pourrait être sur la capacité de la forêt à séquestrer le carbone, a déclaré l’auteur principal Alan Townsend, un professeur Des études environnementales.

« Les implications du changement doivent encore être résolues, mais on peut dire que la forêt répond aux changements de précipitations assez différemment de ce qui a été une hypothèse commune depuis longtemps », a déclaré Townsend.

À l’avenir, les auteurs espèrent que les résultats rendront le bilan direct pour les éducateurs et les scientifiques.

« Nos résultats modifient fondamentalement une vision du cycle du carbone de la forêt tropicale qui a été publiée dans les manuels et incorporée dans des modèles de changements climatiques futurs depuis des années », a déclaré Taylor. « Compte tenu de la quantité de ces forêts pour le climat, ces nouvelles relations doivent faire partie des futures évaluations climatiques ».

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La recherche a été financée en partie par la National Science Foundation.

Contact:

Philip Taylor
Lisa Marshall, CU Boulder Relations avec les médias

Remarque de l’auteur de ce blog :

Mon constat a été le même en région tempérée (proche de Paris) sur 25 ans en programme paysagiste, avec une disposition avantageuse des plantations d’arbres au pied d’un important talus de 1,50 m de haut, qui ont grandi deux fois plus vite avec l’eau retenue intégralement à son pied (terrain plat fermé) !

Par contre, pour les arbres plantés au sommet du talus, sur sa partie trapézoïdale la plus étroite et sèche, les arbres poussèrent deux fois plus lentement que la normale !§!

La formule plus humide de terrasses à talus arborés devrait donc être expérimentée à grande échelle partout en ce monde et d’abord en zones semi-tropicales trop sèches ! AU LIEU DE SE CONTENTER d’arbres plantés en haut de pentes, leurs racines au sec…!§!

ALERTE GRAVE : POURQUOI DEVOIR RETENIR TOUTES EAUX PAR DES TERRASSES BORDÉES DE TALUS ARBORÉS, AVANT DE LES LAISSER FILER VERS LES FLEUVES EN CRUE ?

C’est une question de vitesse de pénétration dans le sol comparée à la vitesse de déplacement en surface :-

  • VITESSE DE PÉNÉTRATION DE L’EAU  DANS LE SOL : une mesure a été fait dans les monts d’Auvergne (Massif Central en France – roches volcaniques) qui démontre que l’eau mets 3 mois pour traverser une profondeur de 60 m afin d’atteindre une galerie de captation; Cela donne une vitesse moyenne de 2,8 dm/heure !
  • VITESSE DE L’EAU PERDUE EN SURFACE : elle varie de 1 dm par seconde (sans courant suivant la pente) à 2 ou 3 m/seconde en fleuve par courant fort, soit au minimum 3600 dm/heure !
  • La différence en surface est considérable, soit au grand minimum 1286 fois plus !

Rien que ce chiffre justifierait que tous nos exploitants de la nature reconsidèrent complètement « l’idée admise » jusqu’ici que :

TOUTE PENTE DE TERRAIN SERAIT… « NORMALE » ! C’est FAUX !

Même sans évoquer la perte d’humus par érosion…, infiniment longue à reconstituer !§!

LES EXTRÊMES CLIMATIQUES BLOQUÉS LONGUEMENT ONT LEURS EXPLICATIONS !


Voir la vidéo jointe au lien suivant (pour l’avoir traduite en simultanée, cliquez sur le rectangle en bas à droite, puis sur la roue plus à sa droite et choisir traduction automatique en cliquant sur la langue en cours)

UNE AUTRE ATTITUDE DE CONSCIENCE ACTIVE PLUS EFFICACE FACE AU CHANGEMENT CLIMATIQUE !
Vous n’êtes pas sans ignorer que la prière est multidimensionnelle et fonctionne (parfois, quand vous insistez un peu, avec foi) au delà de ce que la science et la physiques actuelles comprennent !
Il y en est de même avec le climat. Lequel nécessite un partenariat de conscience locale et planétaire que peu d’humains envisagent efficace !
Les anciens comprenaient ce lien de la conscience avec l’atmosphère et l’humidité des océans pour appeler la pluie !
L’humanité actuelle, pas dans une compréhension multidimensionnelle de comment interagit la conscience d’avec les éléments et la nature, est en apprentissage à ce sujet.
Voilà pourquoi le réchauffement climatique existe. Il s’exprime sous forme de prise de responsabilité humaine à redécouvrir. Il nous faut visualiser, quand nécessaire et suffisamment longtemps, les pluies venir en douceur et suffisamment des océans !

LA PRISE DE CONSCIENCE à FAIRE, AVEC LES MESURES A PRENDRE QUI EN DÉCOULENT…

Les continents, quand trop SECS et SURCHAUFFÉS (sans ASSEZ de VÉGÉTATION HUMIDE, d’eaux retenues sans les laisser filer vers les océans !) peuvent accentuer le blocage sur place de la progression nécessaire de ces ondes atmosphériques, alternant de l’Anticyclone (haute pression / chaleur) aux Dépressions (pressions plus basses / froid / mauvais temps).

En plus de l’augmentation  des gaz à effet de serre, qui amplifient ce blocage, notre manque de gestion arborée et des eaux sur les continents, principalement en leurs centres, là où pas assez d’eau est présente, devra nous faire réviser tous nos aménagements paysagistes et d’humidité copieusement mieux retenue (terrasses retenant l’eau en prairies immenses avec beaucoup d’arbres sur talus arborés, lacs, étangs, micro-barrages naturels, etc…

Car, le réchauffement des océans est démontré comme partie prenante primordiale du réchauffement climatique (l’eau absorbant 35 fois plus de chaleur que l’air sec !)…

LA PÊCHE DU KRILL et autres atteintes aux océans sont à analyser plus en détail en ce sens !

Nous nous mettons à pêcher les ressources de krill (alimentation des baleines autour des pôles, surtout de l’Antartique… Hors, le krill consomme les algues qui participent en masse sur tous les océans (70 % de la surface du globe) à l’absorption de CO2 !

Il faut être donc très vigilants concernant cette nouvelle atteinte à l’écosystème global, car tout est lié, et plus finement interdépendant que les intérêts économiques et financiers à court terme ne veulent l’admettre !

LES POLLUANTS NANOMÉTRIQUES DE PLASTIQUES ÉGALEMENT EN CAUSE !

Il en est de même concernant les pollutions nanométriques de plastiques répandues en surface sur nos océans, qui empêchent ces micro-algues de proliférer et de capter de façon optimale ce CO2 !§!

L’IMPORTANCE, AU SAHEL COMME EN TOUT AUTRE DÉSERT, DE GARDER LES ZONES HUMIDES AU MAXIMUM !


Une recherche récente démontre que le fait de garder les zones désertiques humides (avec beaucoup d’arbres et des talus pour retenir au maximum toutes eaux le plus longtemps possible) multiplie de beaucoup la présence et l’augmentation de pluies plus abondantes en fin de période de saison des pluies, là où ces besoins en eaux sont cruciaux !

Recent research shows that keeping wet desert areas (with plenty of trees and slopes to keep as much water as possible for as long as possible) significantly multiplies the presence and increase of more abundant rains at the end of the period Of the rainy season, where these water needs are crucial!

تظهر الأبحاث الأخيرة أن للحفاظ على المناطق الصحراوية الرطبة (مع الكثير من الأشجار والجسور الإبقاء على الحد الأقصى عن المياه لأطول فترة ممكنة) يضاعف من ذلك بكثير وجود وزيادة هطول المزيد من الامطار الغزيرة في نهاية الفترة موسم الأمطار حيث الاحتياجات المائية هي الحاسمة!

Investigaciones recientes muestran que para mantenerlos húmedos áreas desérticas (con una gran cantidad de árboles y muros de contención para retener el máximo de todas las aguas, siempre que sea posible) se multiplica mucho la presencia y el aumento de las lluvias más fuertes al final del periodo de la época de lluvias, donde las necesidades de agua son cruciales!

最近的研究表明,要保持湿润的沙漠地区(有很多树木和堤防尽可能长时间留住最大所有水域)期末乘以多少存在多大雨增加雨季里的水需求是至关重要的!

LES SOCIÉTÉS PRÉCOLOMBIENNES ONT FAÇONNÉ AVEC DOUCEUR ET SAGESSE LA FORÊT TROPICALE !

En multipliant les arbres à fruits sur des siècles (peut-être des millénaires…), les amérindiens ont  façonné les paysages pour avoir plus d’arbres variés utiles !

Comment se fait-il que notre civilisation prétendue « avancée » s’hypnotise avec les profits à court terme, comme avec les fruits des palmiers à huile sur d’immenses étendues, sans donner ses chances à la variété des espèces et des conditions climatiques. A-t-on perdu toute raison ?

L’argent aurait-il « toutes les excuses »…, au point de nous faire perdre toute sagesse climatique et paysagiste en ne laissant que des industriels écraser les petits paysans, comme en Afrique, au Cambodge, en Indonésie et bientôt de partout, rien que pour faire de l’essence végétale pour les pays riches (plus qu’à triches…).

Quand va-t-on gérer ce monde et d’abord les naissances en trop (menant à toutes les guerres possibles) sans fausses « religions » permettant l’abus mental de l’homme sur l’homme ?

LE RÉCHAUFFEMENT ET LA MONTÉE DES OCÉANS ONT LEURS SOLUTIONS…


Il paraît devenir indéniable que LES OCÉANS SE RÉCHAUFFENT PLUS VITE QUE PRÉVU !

Hors, la capacité thermique d’absorption de chaleur de l’eau étant 35 fois plus importante que celle de l’air sec (et des sols), ce sont les océans qui ont la meilleure inertie thermique possible pour amoindrir la vitesse… du réchauffement climatique :

-http://www.futura-sciences.com/planete/actualites/oceanographie-oceans-rechauffent-13-plus-vite-prevu-48204/

Pour les continents à reboiser en agroforesterie retenue, j’ai déjà donné une solution simple, naturelle, efficace (testée 25 ans en conditions réelles) sur https://greenjillaroo.wordpress.com.

Cette solution ne traite que partiellement le problème thermique planétaire de réchauffement climatique, si l’on ne tient pas compte de la masse d’inertie thermique des océans ! Lesquels occupent 70 % de la surface planétaire, avec encore bien plus d’inertie thermique en profondeur, et… se DILATENT !

D’autre part, nous connaissons mal les causes cosmiques les plus importantes des fluctuations de réchauffements et refroidissements planétaires, à travers les variations de l’activité solaire (influences galactiques ?), de la distance orbitale variable de notre planète quand elle parcourt ces cycles de rotations stellaires (influences des autres planètes et astres environnants ?).

Ces variations cosmiques dépassent l’appréhension possible d’une civilisation humaine, sans compter les avatars planétaires d’une couche du manteau terrestre assez peu stable et changeante (mouvement tectonique des plaques continentales, subduction du manteau de la croûte terrestre, poids déplacés des glaces et océans, etc…).

…. d’où la question :

LA VARIATION DU NIVEAU  DES OCÉANS EST-ELLE SUSCEPTIBLE D’ÊTRE ATTÉNUÉE ?

Notre planète est couverte de nombreux déserts assez plats et près du niveau des mers, tel que le Sahara au nord de la Mauritanie, ou le désert de Gobie proche du fleuve Amour (mais pas qu’eux…, également tout le long de l’Amérique Latine côté Chili, etc…).

Par un jeu de pompes et de barrages successifs, il serait possible de remonter de l’eau de mer (dessalée ou pas, avec l’énergie diurne en excès de fermes à capteurs solaires photovoltaïques), tel qu’au Nord-Est côtier de la Mauritanie, jusqu’à environ 350 m d’altitude dans la cuvette désertique actuelle bordant le sud de l’Algérie (vers la Wilaya d’Adrar – voir sur Google-Earth).

Solution de dessalement d’avant-garde : https://safeearthsolutions.wordpress.com/2011/05/12/usines-de-des-salinisation-supraconductrices-solaires/

!§!… Le pire ennemi des Grands Travaux de ce type est L’ÉVAPORATION de l’eau apportée,

tel que l’ont démontré :

  • l’assèchement de la mer d’Aral en ex-URSS ;
  • la nécessité de détourner une partie du débit du fleuve Nil lors de la réalisation du canal de Suez ;
  • Le remplissage difficile de la retenue du barrage de l’oued Draa à Ouarzazate au Maroc (mon beau-frère participait à sa construction avec l’entreprise Dumez en 1970) ;

!§! … Car, l’on ne réalise guère qu’il faut d’abord retenir et reboiser les pentes entourant la future retenue d’eau…, AVANT de la remplir…, pour y faire un minimum d’humus et un micro-climat local humide indispensable !

Toute pente devrait être aménagée ainsi pour éviter les crues et sécheresses prétendues "fatales")

Il est donc indispensable d’aménager largement les pentes de la future retenue suivant le profil répété ci-dessus, et, de comprendre que :

  • d’irriguer avec des buses la partie haute de ces pentes…,
  • en les reboisant…, avant de remplir la retenue,
  • pour obtenir un effet de roulement de l’air humide (descendant et remontant en convection thermique autour de la retenue) ainsi mieux protégée de la fournaise désertique environnante,
  • LES ARBRES sont un indispensable outil de transfert de l’eau du sol par évapotranspiration inter-saisonnière (de la saison humide à la saison sèche).

Tout en sachant que la poussière… rendue humide… devient toujours de l’humus (comme prouvé en Éthiopie avec une plantation d’arbrisseaux à fèves comestibles résistant à la sècheresse avec seulement un godet d’eau / plant !).

CES AMÉNAGEMENTS PAYSAGISTES PERFORMANTS NE SONT AUCUNEMENT à RÉSERVER aux seuls ARBRES à PALMES FAISANT DE L’HUILE « RENTABLE » à court terme (mais malsaine pour la santé…!). L’économie et la finance actuelles se sont fourvoyées…. en ignorant les humains du terrain et le long terme !

Elles sont à généraliser en tout pays sec l’été, et même à plat (eaux retenues en parcelles horizontales étroites entourées de talus très arborées ! C’est cela la vraie AGROFORESTERIE THERMIQUE et CLIMATIQUE correcte !

L’urgence est reconnue, mesurée, analysée : – http://www.rtflash.fr/emissions-mondiales-co2-stagnent-mais-rechauffement-climatique-se-poursuit/article

….

!§!… Tel que le démontre l’émission d’Arte « Le Dessous des Cartes » (http://ddc.arte.tv/), l’Algérie et toute la région environnante se dirige vers… le suicide écologique de tout le Sahara…, en voulant abusivement exploiter par fracturation « hydraulique » (doublée de ses pollutions irréparables) les importantes réserves de gaz profondes.

Lesquelles nappes d’eau situées au dessus bien trop rares et précieuses se trouveront obligatoirement impactées  alors que indispensable au Sahara tout entier (car déjà insuffisantes, cette région en situation critique au niveau hydrique !).

!§!… Zone immense que ce pays polluera définitivement s’il procède à cette extraction (connue et prouvée déstabilisante des sols et polluante telle que opérée actuellement en Amérique du Nord et au Canada).

Au niveau climatique global (mais aussi local) il est inévitable de devoir se séparer de l’exploitation des ressources énergétiques fossiles à effet de serre, et donc surtout pas de les amplifier…!§!

!§!… Qu’attend l’ONU pour réagir ? C’est son rôle, d’autant plus urgent que la planète est face à un réchauffement climatique connu scientifiquement inévitable…, mais pas totalement appréhendé pour son ampleur croissante !§!

Il faut aider toutes ces régions désertiques à changer, en humidifiant ces déserts, en rafraichissant les vents puissants s’échappant de trop de ces régions torrides, avec cette idée innovante qui permettrait d’effectuer de plus une régulation considérable des énergies renouvelables et une gestion plus efficace des variations de ces énergies « vertes » au plan continental, voire même planétaire !

Il serait également possible d’y associer des voies navigables avec écluses pour rendre ces immenses régions désertiques enfin exploitables en agroforesterie adaptée, et donc habitables >>>> !!!!…§!!!!

Ceci est une idée réelle de globalisation enfin propre et équilibrée qui dépasse et de loin le terme employé par les industries planétaires excessives et sales (que se sont appropriées à tort les activités économiques et financières existantes, trop aveugles de leurs méfaits mondiaux et parcellaires) !

FACE à ces DÉFIS PLANÉTAIRES URGENTS, l’on doit admettre que LES ÉGOÏSMES ÉTATIQUES ANTÉRIEURS ne sont plus possibles !

La sagesse de sauvegarde de toute vie commence par la Gestion inévitable des Eaux, qui influe 35 fois mieux sur le bilan thermique local que l’air sec !

 

Objectif de ce site… « INN-COGNE-GRUE » (l’Himalaya menacé de désertification par pire que le survol de grues cendrées !):


Effet de CONDENSATION « Venturi » en tête de volcan, en retour, en rapport de la convection sur ses pentes de l’humidité des arbres

PYRAMIDES VERTES à talus arborés, CONVECTIVES (à condensation au sommet)

PERMETTRE à NOS CONSCIENCES D’ÉVOLUER VERS L’INFORMATION PLURIDIMENSIONNEL  INTÉRIEURE et DE S’Y FAIRE CONFIANCE

Notre société actuelle est fortement concentrée sur les informations extérieures, des médias, de la culture imposée en 3ème dimension, partielle, manipulée, restrictive, stressante, qui ne reflète en rien LA GRANDEUR D’EXPÉRIMENTATION INFINIE DE L’ÂME…, ni la volonté d’unité amoureuse universelle de créativité parfaite du Soi divin, de La Source angélique du tout Universel et multidimensionnel.

J’ai moi-même vécu en 1988 un « rattrapage énergétique » de conscience, sous forme d’illumination atemporelle venue d’en haut, pleine de sagesse. En attente de plus de vérités larges et hautes, libres et ouvertes, alors que j’entâmais un parcours de communication de savoir faire scientifique et technique dans ma profession de cimentier. Après avoir vécu très péniblement trois tragédies familiales : opération de mon épouse au cerveau, perte de mon beau-frère en accident d’avion, décès de ma soeur d’un cancer et reprise de leurs enfants, dont un autiste…!

Cela faisait suite à une vie ayant débuté comme grand voyageur autour de la planète dès ma jeunesse (mon père parti travailler au Vietnam, puis au Cambodge, moi-même plus tard au Maroc comme coopérant puis pour mon groupe cimentier, sans parler d’un voyage professionnel au Canada et en ex-URSS).

Mais aussi, par le vécu de phénomènes prétendus « paranormaux » :

– en « sortie de corps » dès mes cinq ans, lors d’une broncho-pneumonie aiguë ;

– d’une guérison miraculeuse à 15 ans à la suite d’une chute de hamac mal ficelé, une vertèbre brisée, paralysé au sol et ne pouvant plus parler, ni appeler. Obligé de m’auto-déclarer guéri et parfait, ensuite aligné aux énergies hautes, universelles par trois prières du Notre Père, pour qu’une énergie douce me « chauffe » le dos et guérisse tout cela par la loi d’attraction de l’attention portée à l’énergie vibratoire voulue recréatrice (sans penser au côté ‘mal-à-dits’ « insurmontables ») ;

– en 1988 première lévitation en voulant une preuve d’être au bon endroit au bon moment, à St Robert, chez un vieux père médium, puis devenant juste après pleine réceptivité naturel comme canal de moi-même (explication : http://www.psychologiedelame.com/message-19-10-08.html );

– en 1991, deuxième lévitation à la signature de ma démission de mon groupe, comme preuve de « bien faire » en quittant mon job stressant…(à 46 ans !) ;

– enfin, en 2003, lors d’une canicule alors que je m’installais dans le centre de la France (sorti de 54 ans de vie parisienne étouffante et polluée…, carcérale par épisodes), de guérir mes maux intestinaux à irritations graves en allant brasser avec amour de l’humus près de racines d’arbres en forêt afin de me rafraîchir. Ce qui me rechargea en énergie vitale parfaitement équilibrée et remplit mes avant-bras (mis ensuite sur mes intestins à la sieste, très paisible, avec le même effet de guérison douce et de chaleur que plus haut).

– DONNER D’AUTRES REPÈRES, PRATIQUES, UTILES, PERFORMANTS DE L’UTILISATION DE LA FORCE DE CONSCIENCE INTÉRIEURE, VITALE ET HAUTE (ASSOCIÉE à l’ÉNERGIE D’AMOUR UNIVERSEL éternellement présente)

Car, le système actuel de formation, très mental inférieur en 3D, insistait jusqu’à présent sur l’opposition des genres, des idées, des enseignements, des croyances, des religions, suivant l’héritage de croyances anciennes en des « dieux extérieurs »… L’humain divin et créatif, (que nous sommes de naissance en tant qu’enfants enthousiastes quand pas encore manipulé et déformé inconsciemment) constamment dénigré…, pour faire pouvoir temporels factices, durs et illusoires, vite perdus en des excès insensés.

Le « bon » prétexte tendu aux peuples étant que « la force ferait la loi », avec un libre-arbitre pouvant « tout se permettre » (en dédaignant les lois d’équilibre karmique et d’attraction de la conscience quand elle s’attache à toute pensée, fût elle réductrice en diable…). Et, que « les doux seraient des faibles » en aimant leur vie douce et bien dirigée (en saine harmonie vitale avec tout ce qui est) ; établissant sans le vérifier, par peur de tester mieux en soi, qu’ils seraient des pantins marionnettes vis à vis de l’univers. Ce qui est faux…, et vite vérifiable, si plus à préférer inverser nos intentions créatrices vers la compréhension d’une bienveillante attention universelle pacifique probante. Là constamment à la demande, avec une étique amoureuse d’aides variées et ciblées, mais inconditionnelles et atemporelles, qui nous dépasse !

– D’EXPOSER LES AVANTAGES GRANDISSANTS DE LA CROISSANCE ACTUELLE DE LA NOUVELLE « TERRE DE CONSCIENCE » (telle que voulue par toute l’humanité cherchant à s’ouvrir, à évoluer, à grandir et à se libérer de la dualité fantôme)

– au travers des channelings (dont je vous évoquerais mes sites préférés en vous guidant par « télé-partie » dessus…) grâce à la télépathie universelle instantanée, outil infiniment pratique qui relie tout ce qui est (sur ce que l’on choisit de recevoir – attention à cela !)

– par le biais de signes retournés, de plus en plus précis quand notre attention sur un sujet persiste avec confiance douce et ne faiblit pas, sans verser dans la distraction extérieure ou l’impatience.

Pour nous démontrer à nous-même que notre aura est remplie de plein d’aides multidimensionnelles angéliques, guides et gardiennes, à la mesure de nos libérations d’idées de manques, de sous-estimations et de doutes : quant au « JE SUIS DIEU AUSSI (parcelle intégrale et créatrice de l’Ensemble universel en toute La Création) et JAMAIS SEUL !

– QUE CELA EST DÉJÀ en soi UNE CONDUITE PRATIQUE INTÉRIEURE TRÈS EFFICACE, UTILISABLE PAR TOUS ET POUR TOUTE EXPÉRIENCE DE VIE, sans verser dans une spiritualité « religieuse douteuse » ou « Nouilles »-Age !

Puisque, pour vous le démontrer par mes innovations planétaires (v. blogs joints ou http://safeearthsolutions.wordpress.com) je me suis épuisé à faire innovant (trop souvent durci) toute ma vie professionnel comme dessinateur-projeteur en usine à ciment et plâtre, puis en informatique et know-how, grâce à cette guidance à ce moment-là nécessaire et voulue effective et facile. Avec la conviction, depuis ma sortie de corps, d’avoir une « bonne étoile »…, sans même douter qu’il y avait encore mieux : tout l’univers à nos trousses… Mais, planqué derrière une grille infranchissable que l’on nomme : le quantique « treillis cosmique » !

– DONNER AUX PARENTS LA COMPREHENSION DE DEVOIR LÂCHER PRISE, PLUS QUE DE FORCER LEURS ENFANTS

En effet, avec les nouveaux enfants qui s’incarnent, les parents comprendront vite être dépassés s’ils ne lâchent pas prise face à eux (même quand en crise). Dans un channeling (http://jeshua.net) Marie signale que c’est ce qu’elle avait dû faire avec Jésus Jeshua Ben Yousef) durant sa vie pas facile de Palestine avec son « sauveur » !

Nous n’aurions pas à sauver nos enfants d’une « faute originelle quelconque » (v. http://www.psychologiedelame.com/messages/ – rubriques « responsabilité »), mais à les laisser se déterminer et expérimenter eux-même en raison de leur si grande particularité d’âme (au parcours éternel très diversifié du nôtre !).

La « nouvelle compréhension (je l’ai testée sur mon neveu autiste) est de les voir baignés d’en haut en eux-mêmes par la Lumière pure de La Source universelle de perfection…, plutôt que de les croire suractifs ou malades (et de les droguer, ce qui est le pire à faire…).

Pour beaucoup, les nouveaux enfants sont des incarnations plus multidimensionnelles que nous (l’esprit en plein de réalités autres à la fois) ! Ce qui demande plus de concentration que pour les générations passées. Comme nous l’aura démontré Nikola Tesla, brillant inventeur, si mal compris en son temps…!

Ces nouveaux enfants peuvent être des âmes très évoluées, venues avec moins de voile de conscience, moins de dualité, d’oubli de leur parcours d’âme, pour infléchir le futur de ce monde dans une très nouvelle et différente direction, pleine de relaxation paisible, de lâcher prise, de discernements utiles, d’harmonies ; et capables mieux que nous de transformer ce monde vers une destinée glorieuse de Partenaires des étoiles.

C’est ce qu’attendrait l’univers pour enfin nous retrouver. Mieux encore qu’aux origines lointaines, très lointaines des premières civilisations sur Terre, depuis longtemps effacées, comme celle de l’Antartique, quand relié à l’Amérique du Nord avant la Pangée (dixit mes guides, sous ‘touffe Ré-servent’ – on y étais tous, mais on ne s’en souvient plus…) !

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Revue « Pour la science » :

Les forêts, pourvoyeuses de pluies

Selon une étude suédoise, un écosystème forestier joue un rôle positif dans le cycle de l’eau, contrairement à ce qu’indiquaient des évaluations réalisées à une échelle locale.

Maurice Mashaal

© Shutterstock/Ralph Loesche

L’évapotranspiration de l’eau par les feuilles des arbres injecte de l’eau dans l’atmosphère et contribue de façon notable aux précipitations sur les régions continentales. Cet apport des forêts est le plus souvent sous-estimé dans les bilans du cycle de l’eau.

© Shutterstock/Ralph Loesche

Pour en savoir plus

D. Ellison et al.On the forest cover-water yield debate : from demand- to supply-side thinkingGlobal Change Biology, prépublication en ligne, décembre 2011.

La déforestation a-t-elle pour conséquence une réduction ou une augmentation des précipitations ? La question restait fortement débattue et mal tranchée. David Ellison, de l’Université suédoise des sciences de l’agriculture, et deux collègues viennent de publier une étude de synthèse qui conclut au rôle positif des forêts pour la disponibilité de l’eau.

Selon une partie des spécialistes, les couverts forestiers constituent des zones qui absorbent de l’eau au détriment de l’utilisation qui peut en être faite en aval (agriculture, énergie, industrie, foyers domestiques), puisque chaque arbre consomme de l’eau. D’un autre côté, avancent d’autres spécialistes, l’évapotranspiration fournit de l’eau à l’atmosphère et facilite son transport à travers les continents et favorise les précipitations aux échelles locales, régionales et globales. Lequel des deux camps a raison ?

L’étude suédoise met en relief le fait que le premier camp, celui pour lequel les forêts constituent une demande en eau, est représenté par des travaux réalisés à l’échelle locale, tandis que le second, pour lequel les forêts constituent une offre en eau, est représenté par des travaux à des échelles plus vastes (régionales). Ainsi, soulignent D. Ellison et ses collègues, des problèmes méthodologiques, liés à l’échelle spatiale étudiée, sont à l’origine des désaccords entre les deux camps. L’analyse qu’ils effectuent aboutit à la conclusion que la déforestation est globalement défavorable aux précipitations, et que la reconstitution du couvert forestier leur est au contraire favorable, même si localement un effet inverse peut être observé.

L’étude suédoise montre que l’évapotranspiration par les végétaux contribue fortement aux précipitations sur les régions continentales. Plus précisément, cette contribution de l’évapotranspiration est de l’ordre de 1,4 à 1,8 fois plus importante que celle de l’évaporation de l’eau des océans. Pour D. Ellison et ses collègues, ces résultats indiquent que l’évapotranspiration est généralement sous-estimée dans les représentations du cycle de l’eau. Les politiques de gestion des ressources en eau ou de l’affectation des sols ainsi que les études climatologiques devraient donc en tenir compte…